Lutte contre les discriminations et les violences

  1. Mettre en place des services juridiques et psychologiques de qualité, subventionnés et contrôlés par l’État pour les femmes et personnes victimes de violence ainsi qu’un budget et des dispositifs spéciaux pour permettre le rapatriement ou la prise en charge en urgence des victimes de violence.
  1. Faciliter la reconnaissance d’enfants issus de procréation médicalement assistée (PMA) et de gestation pour autrui (GPA) entre pays et l’alignement des carnets de famille.
    Refuser tout contournement par la France des décisions de la Convention européenne des droits de l’Homme (CEDH).
  1. Mettre en place un fond pour permettre l’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) à l’étranger et pousser pour une communication dans les consulats des possibilités et droits locaux relatifs à l’accès à l’IVG.
  1. Rendre accessible depuis l’étranger tous les services français pour les victimes de violences conjugales.
  1. Mettre en place une démarche en ligne et au consulat pour les changements d’état civil, afin de ne pas nécessiter de voyager en France pour cela.
  1. Développer l’accessibilité de nos services publics à l’étranger pour les personnes en situation de handicap.
    S’assurer que les services publics en ligne à l’étranger soient aussi accessibles à toutes et tous, y compris aux personnes en situation de handicap et aux personnes en situation d’illectronisme.
  1. Désigner un·e référent·e Français·es de l’étranger dans chaque Maison départementale des personnes handicapées (MDPH).
  1. Permettre l’accès à l’allocation aux adultes handicapés (AAH), comme c’est le cas en France, aux personnes dont le taux d’incapacité est compris entre 50 % et 79 %, alors que, pour l’instant, le ministère ne prévoit l’octroi de l’AAH qu’aux seules personnes dont le taux d’incapacité reconnu est égal ou supérieur à 80%.