- Comptabiliser l’ensemble des années travaillées à l’international pour le calcul du taux de la retraite.
- Ne plus calculer le revenu annuel moyen (RAM) sur la base des 25 meilleures années réalisée dans un régime de retraite, mais au prorata de celui-ci en fonction du nombre d’années réellement cotisées dans le régime de retraite considéré. Rétablir la possibilité d’éliminer du salaire de référence les faibles salaires annuels quand une partie de la carrière a été effectuée dans des pays de l’Union Européenne, supprimée depuis juillet 2022 (circulaire CNAV 2021 – 33)
- Permettre aux personnes travaillant dans les services français (écoles homologuées, instituts, ambassades) de cotiser à la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) par le truchement de la Caisse des Français de l’étranger (CFE), même s’ils ne remplissent pas la condition préalable d’avoir été affilié à un système obligatoire de protection sociale en France.
- Mettre en place rapidement, et avec l’avis des élu·es, la possibilité d’établir à distance un certificat d’existence et de le transmettre à distance.
- Améliorer la communication avec les caisses de retraite et les complémentaires.
- Veiller à la mise en place du groupe de travail parlementaire annoncé sur les carrières internationales.
- Permettre aux Français de l’étranger qui sont particulièrement pénalisés par le mode de calcul de la retraite de percevoir eux aussi le minimum contributif (MICO) en le calculant à partir du total des seules retraites françaises au pro-rata du nombre de trimestres cotisés en France comme plafond à partir duquel le MICO ne serait plus versé.