Retraite

  1. Comptabiliser l’ensemble des années travaillées à l’international pour le calcul du taux de la retraite.
  1. Ne plus calculer le revenu annuel moyen (RAM) sur la base des 25 meilleures années réalisée dans un régime de retraite, mais au prorata de celui-ci en fonction du nombre d’années réellement cotisées dans le régime de retraite considéré. Rétablir la possibilité d’éliminer du salaire de référence les faibles salaires annuels quand une partie de la carrière a été effectuée dans des pays de l’Union Européenne, supprimée depuis juillet 2022 (circulaire CNAV 2021 – 33)
  1. Permettre aux personnes travaillant dans les services français (écoles homologuées, instituts, ambassades) de cotiser à la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) par le truchement de la Caisse des Français de l’étranger (CFE), même s’ils ne remplissent pas la condition préalable d’avoir été affilié à un système obligatoire de protection sociale en France.
  1. Mettre en place rapidement, et avec l’avis des élu·es, la possibilité d’établir à distance un certificat d’existence et de le transmettre à distance.
  1. Améliorer la communication avec les caisses de retraite et les complémentaires.
  1. Veiller à la mise en place du groupe de travail parlementaire annoncé sur les carrières internationales.
  1. Permettre aux Français de l’étranger qui sont particulièrement pénalisés par le mode de calcul de la retraite de percevoir eux aussi le minimum contributif (MICO) en le calculant à partir du total des seules retraites françaises au pro-rata du nombre de trimestres cotisés en France comme plafond à partir duquel le MICO ne serait plus versé.